Chaos & Paix: Mon Art

Mon processus créatif est une fusion de photographie, d’intelligence artificielle et de sculpture 3D. Tout commence par une réflexion artistique profonde sur le sujet, souvent inspirée par mes propres photographies ou des livres d’experts. Pour transformer ces idées en art, j’utilise Stable Diffusion, une IA que j’ai entraînée sur mes propres clichés, assurant le respect des droits d’auteur. Une fois le concept initial établi, je passe au dessin. J’utilise des calques de papier spéciaux pour esquisser le sujet. Après le scan de ces esquisses, je me plonge dans la sculpture numérique avec Zbrush, en m’appuyant sur mes calques et les inputs de Stable Diffusion pour modeler finement mon sujet. La prochaine étape est la modélisation 3D. Ici, Maya ou 3DS Max entrent en jeu, me permettant de créer des modèles 3D avec une perspective ajustée à la perfection. Pour finir, je donne vie à mes créations en couleur et en texture, utilisant Procreate et Illustrator sur ma tablette graphique. Mon stylet n’est pas seulement un outil ; c’est mon pinceau, avec lequel je peins chaque détail de mon œuvre numérique.

Ma route vers l’art a pas été directe. Pendant un bon bout de temps, j’étais à fond dans la prog, Python et tout le truc. J’avais déjà l’âme d’un artiste, mais c’était la tech qui m’occupait. Cette passion m’a même emmené jusqu’à New York, bosser avec une start-up. Là-bas, j’ai eu l’opportunité de développer une IA basée sur mon propre modèle. Et c’est à ce moment-là que tout a basculé. J’ai commencé à voir l’art d’une autre manière, plus intense. L’art est devenu mon exutoire, mon moyen de m’exprimer autrement. J’ai commencé à mixer mes compétences en programmation avec ma passion pour l’art numérique, et bam ! Ça a créé un truc nouveau, un style qui m’appartient. Aujourd’hui, je navigue entre la technologie et l’art, créant des œuvres qui sont à la fois des expressions de mon esprit de codeur et de mon âme d’artiste.

Mon inspiration, je la chine dans les rues du 93, un vrai melting-pot de galères et de victoires. Chaque jour, c’est une leçon de vie, une scène de théâtre urbain qui se joue devant mes yeux. Dès que quelque chose me frappe, je plonge tête première dans les bouquins, dévorant les mots des auteurs qui causent de ces délires. J’hésite pas à les contacter, à taper la discute pour piger encore plus leurs univers. Et quand il s’agit de thèmes chauds, je puise dans mon sac d’expériences, des trucs de ouf que j’ai vécus. Mon art, c’est comme un reflet de ces vies de dingue, une sorte de mégaphone pour les histoires qu’on entend jamais. En mélangeant ma life à celle des gens du quartier, je balance des toiles qui causent pour ceux qu’on zappe, qui donnent de la couleur à ceux qu’on voit pas.

La santé, mec, c’est pas un jeu. Moi, je prends ça au sérieux.
Tous les trois mois, je fais mes tests IST, et je laisse pas traîner pour les dépistages du cancer.
La santé, c’est la base, sans ça, t’es rien. Et franchement, la médecine en France, c’est du lourd, la meilleure du monde.
Sans une santé en béton, tu peux pas tenir le coup dans ce monde de taré.

Chanson Préférée : « Amsterdam  » de Brel. Ce ne sont pas juste des paroles, c’est le coeur qui s’exprime, un son qui frappe fort. Bien sur, Il y a IAM, Brassens, Rohff, Daft Punk, Coolio, 2Pac, Jackson, … (la liste est trop longue)
Livre Préféré : « 1984 » de George Orwell. Pas seulement un livre, mais une putain d’anti-utopie devenue réelle.
Tableau Préféré : « Le Cri » d’Edvard Munch. Ce n’est pas juste une peinture, c’est un cri silencieux qu’on entend.
Plat Préféré : Dolma. Un plat vraiment fou.
Femme la Plus Belle du Monde : Shakira. Plus qu’un joli visage, une reine qui danse, chante et tourne la tête avec des hanches qui ne mentent pas.
Homme le Plus authentique : Karim Benzema. Une bête sur le terrain, un visage qui impose le respect, un talent qui parle fort.
Ville Préférée : Oran. Pas besoin de petits discours, c’est le cœur algérien. Le mien.

Ouais, je touche à la beuh, mais c’est pas pour le kiff, c’est pour rester zen sans me shooter aux calmants de labo. J’opte pour l’hollandaise, la plus clean possible. Pour moi, c’est une question de choix sain, pas de délire.
Par contre, les drogues dures, c’est un gros JAMAIS. C’est de la merde en barre. Si t’as l’idée de tester, oublie direct. C’est la descente assurée, le ravin sans fin. Faut rester lucide, la vie c’est pas un jeu.

La mif, c’est sacré. C’est pas juste mes darons que je kiffe grave ou mes potes, que ce soit des meufs ou des mecs. L’origine ou le dine ,frerot, ça compte que dalle. . Ce qui compte, c’est le cœur, la vraie connexion.
Je sais pas encore qui va débarquer dans ma vie demain, mais une chose est sûre, je zapperai jamais ceux d’hier. Chaque personne qui a croisé ma route, c’est un chapitre.
La famille, c’est pas que le sang. C’est les rires, les pleurs, les délires, les galères partagées. C’est les gens qui te soutiennent quand t’es au fond, qui te relèvent quand t’es cassé. C’est ceux qui restent quand tout le monde se casse.
Sami, Sophie, Karim, Nico, Annabelle, Sarah, FeuFeu, Mam, Raphelle, Abdel, Moh, jamais je vous voudrais loin.

J’en ai pas. C’est pour les faibles, ça. Faut avancer, pas se retourner.

Les amours, c’est un bordel sans nom. Rien de plus à dire.